Jules Encule Manon Pendant Qu’Il Baise Tamara Au Téléphone. Épisode 12/18

Manon avait bien réfléchi après la longue discussion qu’elle avait eu avec Jules le vendredi matin après la fellation qu’elle avait faite à son homme comme elle le faisait tous les jours à son réveil. Elle acceptait donc la proposition de Jules, c’est-à-dire de baiser avec un homme devant lui, avant d’être prise par les deux, en double pénétration. Et pour attiser encore plus les désirs de chacun, cet homme fut choisi en étroite collaboration. Il s’agissait de Richard le copain de sa mère, cela rendrait la situation encore plus cocasse et serait sans aucun doute bien plus excitante.

Mais pour cela, il allait falloir que Manon soit très perspicace ce soir et sache séduire l’amant de Karine. Jules savait pertinemment qu’aucun homme quel qu’il soit, ne pouvait résister aux charmes de cette petite. Elle avait passé pour l’occasion une petite robe très sexy, commandée sur internet. En effet, Jules lui avait offert la semaine passée cette robe courte et moulante, d’un rose vibrant, avec col carré à fines bretelles. Dessous, bien entendu, elle ne portait aucun sous-vêtement, suivant les règles que ce couple s’était fixées.

Cela faisait exactement onze jours que le confinement avait débuté. Karine et Richard qui avaient beaucoup de travail à l’hôpital avaient prévu pour leur soirée de repos de venir rendre visite à Manon. Sa mère se sentant un peu coupable de l’avoir laissée seule, livrée à elle-même dans son appartement, culpabilisait et s’en inquiétait. C’était la raison pour laquelle, elle avait tenu d’accepter l’invitation, c’était aussi pour la mère un bon moyen de se réconcilier avec sa fille après leur dispute.

Dès son arrivée, Karine en inspectant l’appartement fut très surprise de la propreté qui y régnait, rien ne trainait, tout était propre et à sa place. Manon qui habituellement était une jeune fille assez bordélique, ne rangeant à peine sa chambre avait fait d’énormes progrès pour en arriver là :
— Je te félicite ma chérie, tu es une vraie fée du logis.


— Tu sais maman, coincée ici pendant des jours, je m’occupe comme je peux.
— Au fait, Jules n’est pas encore arrivé ? Tu l’as bien invité ?
— Oui ! Mais il est très occupé avec les cours en ligne. Tu veux bien aller lui demander de descendre, pendant que je sers l’apéritif à Richard au salon ?

Le début du plan fonctionnait, pendant que Karine était chez le voisin, Manon avait le temps d’être un peu seul avec Richard. Jules offrit à son ex voisine, un café et ils avaient bavardé comme ils le faisaient souvent avant qu’elle aille vivre chez son amant. Pendant ce temps, Manon s’était assise près de Richard son verre de scotch à la main. Sa robe étant très moulante, elle fut dans l’obligation de la remonter un peu pour s’assoir au fond du canapé, laissant à la vue de son voisin, la naissance de ses cuisses.

Les yeux de Richard, comme tout homme bien constitué, allaient du joli visage de sa voisine, au haut de ses cuisses, en passant par sa jolie poitrine, mise en valeur par le décolleté de sa petite robe, se posant la question « Quelle était la couleur de sa petite culotte ». Le tout, en essayant de répondre aux questions assez osées de Manon. En effet, celle-ci, en posant sa main sur sa cuisse en toute décontraction, comme s’ils se connaissait depuis toujours, lui demanda en premier : « comment, tu as séduit sa mère ? » « À quel endroit dans l’hôpital, vous avez fait l’amour la première fois ? »

Très surpris de ces propos, Richard en bafouillait, ne voulant pas paraitre timide, en macho devant ce petit canon de femme si directe, voulut lui montrer qu’il était bien décidé de lui dire tout ce qu’elle voulait entendre. Il lui expliqua donc qu’il y avait deux ans environ, Karine et lui se rencontraient souvent dans les couloirs de l’hôpital et se souriaient à chaque occasion. Richard la trouvait à son goût et à n’en pas douter, cela semblait réciproque.

Jusqu’au jour où se retrouvant seuls dans l’ascenseur, Richard rêvait de lui toucher les fesses, mais étant marié, il la reluquait avec envie sans toutefois agir.
Ce fut elle qui s’était rapproché de lui, touchant sa cuisse avec sa main, puis frottant sa jambe un peu plus contre lui. Il ne reculait pas et leurs mains s’étaient accrochées quelques instants. Puis avant de sortir de la cabine, elle l’avait embrassé en lui mettant dans la poche de sa blouse son numéro de téléphone portable.

Au moment de la pause déjeuner, il l’avait appelé et ils s’étaient donnés rendez-vous dans les sous-sols. Dans les couloirs sombres, des tuyauteries apparentes qui s’effritent, des toiles d’araignées qui datent déjà accrochées aux soupiraux et une bonne couche de poussière un peu partout, l’ambiance était glauque mais ils furent tranquilles. Karine lui avait fait une fellation monstrueuse puis il l’avait à son tour doigtée et pour finir, il avait fait l’amour sans retenu debout accrochés l’un à l’autre.

Au début, ils se voyaient une fois par semaine, mais dès que son divorce fut prononcé, ils se retrouvaient bien plus souvent, toujours au même endroit et quelques rares fois chez lui :
— Qu’est-ce que tu lui trouves à ma mère ?
— Son libertinage, elle aime baiser, ça c’est important dans un couple et comme je ne suis pas le dernier à vouloir le faire, nous nous entendons bien de ce côté-là.

S’apercevant que sous sa braguette, le sexe de Richard prenait du volume, excité par son récit et la main de Manon qui le caressait légèrement, elle continua son questionnement :
— Tu l’as déjà trompé ma mère ? Lui demanda-t-elle en remontant légèrement sa main sur son entre cuisse.
— Non mais si tu continues comme ça, cela se pourrait bien.
— Putain ! Que je suis maladroite. Vraiment excuse-moi, je n’ai pas fait exprès. Dit-elle d’un air tout à fait scandalisé, jouant à la perfection la comédie.
— Ce n’est rien Manon ! C’est bon ! J’ai probablement mal interprété ton geste, j’en suis confus.

Karine étant revenue avec Jules, leur conversation avait cessé et après avoir servi l’apéritif à tout le monde, ils trinquèrent ensemble à leurs retrouvailles.
Pendant le repas, si Manon se faisait doigter par Jules, cela ne l’empêchait pas de fixer Richard dans les yeux, avec un sourire des plus sensuels. Son pied venait de temps à autre frotter également son mollet. Richard avait vu juste, la fille de sa compagne était une vraie bouilloire en ébullition, elle le draguait sans aucun respect de sa mère.

Au départ, il fit tout pour refuser ces contacts, il ne désirait pas avoir de relation avec Manon, par peur du conflit qui pourrait intervenir avec Karine mais cette « petite garce » avait de la suite dans les idées, elle l’excitait vraiment. Se disant que cette fille devait être une chaude au plumard et qu’il ne pouvait pas se priver d’un tel coup. Il continua donc de laisser trainer sa jambe sous la table attendant qu’elle vienne encore le caresser avec son pied.
Tout ceci pendant que Karine accaparait Jules dans des discussions médicales concernant le coronavirus. Pourtant la situation excitait beaucoup Jules qui savait ce que faisait Manon et voyant le visage de Richard rougir d’excitation. L’affaire était dans le sac, se disait-il mais il avait son sexe en érection lui aussi car Manon le caressait de sa main gauche à chaque fois qu’elle le pouvait. Lorsque Karine débarrassa la table pour servir le dessert, suivi de près de Richard qu’elle avait appelé, Jules dit à Manon :
— J’ai trop envie de t’enculer dans les toilettes en présence de tes invités tout proche.
Manon se leva à son tour et dit assez fort afin que sa mère dans la cuisine entende : « Je dois changer mon tampon maman, je vais dans ma chambre, Jules est au WC. » Ce fut bref mais très intense, Manon s’était immédiatement penchée sur le sexe de Jules, l’avait branlé quelques secondes, il n’en fallait pas plus, il bandait comme un taureau. Puis elle s’était retournée, penchée en avant, avait levé sa jupe et tendu son cul à Jules qui pénétra sans attendre son anus avant de la pilonner avec force. Quelques minutes avaient suffi avant qu’il ne se vide de son sperme dans le rectum de Manon qui s’était retenue de crier.
Elle n’avait pas eu le temps de jouir mais avait très apprécié la situation et la puissance de Jules.
Lorsque Richard vit Manon revenir avec une certaine satisfaction dans les yeux, il sut qu’elle n’était pas allée changer son Tampax. Elle avait le regard de ces femmes comme certaines du personnel hospitalier, lorsqu’elles venaient de faire l’amour avec un de leurs collègues, il avait l’habitude d’en rencontrer. Et en réfléchissant bien, il vit la complicité qu’elle avait avec le voisin, Jules. Ces deux-là baisent ensemble, c’était une évidence. Se disait-il, maintenant il en était quasiment certain.

Tenant trop à Karine, il fit le nécessaire pour ne plus laisser cette jeune femme l’approcher, ni le toucher. Manon s’en était rendu compte, elle savait que leur plan avait échoué, elle avait décidé ne pas poursuivre l’opération en cours, toutefois, elle devait désormais trouver une parade afin de ne pas passer pour une salope à ses yeux. Elle appréhendait la réaction de sa mère si jamais elle l’apprenait. Elle attendit le bon moment, celui-ci arriva lorsque Karine demanda à Jules de venir l’aider à la cuisine, Manon se retrouvant seule avec Richard en profita pour lui dire :
— J’espère que tu m’excuseras, je voulais vraiment savoir si tu tenais à ma mère. Maintenant j’en suis certaine, tu es un type bien Richard, je souhaite que vous soyez heureux.
— Je te remercie mais franchement tu m’as fait peur. Ta façon de faire m’a vraiment surpris, je te prenais pour une trainée. Tu me rassures et je n’en dirai pas un mot à Karine, ni pour toi et Jules.

Fin mars, après deux semaines passées à Fort de France, Tamara accepta la proposition de Grégoire d'aller dans son village à Sainte-Luce car il venait d'une famille de pêcheurs, étant lui-même dans le commerce du poisson. Elle se sentait toujours mal d’être aussi loin de Jules malgré leurs conversations téléphoniques régulières et cette situation lui pesait trop. Ce confinement se prolongeait et elle ne savait toujours pas quand elle allait rentrer et cela la perturbait.

Un soir, alors qu'elle avait échanger avec lui, Tamara voulait mettre la vidéo pour le voir mais Jules lui dit qu’il n’avait plus de batterie et qu’il avait dû appeler de son téléphone fixe. Ce fut tout de même une des soirées des plus intenses depuis leur séparation. Jules lui fit l'amour virtuellement de manière si érotique, voire même pornographique, qu'elle avait l’impression d’être avec lui, tellement il décrivait ses moindres faits et gestes. Toutes ses paroles sensuelles, crues, et les gémissements et râles divers et variés lui avaient procurée beaucoup de plaisir et elle avait même atteint l'orgasme à plusieurs reprises. En fait, ce qu’elle ne savait pas, c’était que Jules baisait Manon comme l’autre fois en même temps, lui expliquant en détail ce qu’il lui faisait endurer.

Les jours qui suivirent, elle s'était un peu rassurée quant à leur avenir, Jules l’aimait s’était le principal pour elle. Grégoire était déjà parti dans sa famille à Sainte Luce. S’ennuyant considérablement, Tamara occupait son temps avec l'association « du Monde » qui venait en aide aux s de la rue et assurait leur scolarité. Lorsque Grégoire l'avait invité à le rejoindre pour un petit séjour à Sainte-Luce en sa compagnie, elle s'était empressée d’accepter.

Avant son départ, elle avait de nouveau appelé Jules, le prévenant de son futur séjour chez Grégoire, en lui cachant son flirt, une erreur qu’elle ne voulait pas renouveler. Il lui mentit encore une fois en disant combien elle lui manquait, à tel point que Tamara avait cru bon de lui dire d'officialiser leur relation dès leurs retrouvailles. Mais jules resta évasif, il ne lui fit pas de promesses. En réfléchissant après avoir raccrochée passablement énervée, Tamara avait remarqué depuis peu, que Jules n’était plus le même, beaucoup plus pervers et toujours en état d'excitation.

Elle avait le sentiment qu'il était en train de coucher avec une fille lorsqu’il lui téléphonait car d’après les sons qui lui parvenait parfois, elle avait cru entendre une femme gémir de plaisir. Lorsqu’elle lui avait posé la question, il avait répondu qu'il visionnait du porno. Sur le moment, Tamara l’avait cru mais dorénavant, elle avait de sérieux doutes. Jules de son côté pensait que son astuce des vidéos X avait fonctionné et pouvait continuer de baiser Manon, tout en parlant avec Tamara sans aucun souci.

Ce jour-là, Jules connaissant l’amour que lui portait Tamara, avait toute confiance en elle, il avait donc accepté qu’elle parte quelques jours avec son voisin, en lui stipulant tout de même, de ne pas l'oublier. Dès son arrivée à Sainte Luce, Tamara fut très bien accueillie par la famille de Grégoire qui l’avait connu , c’était comme une seconde famille pour elle qui n’avait plus son père.

Grégoire lui aussi fut très attentionné mais ce n’était pas pour les mêmes raisons. Il lui fit faire du tourisme, en la promenant le long du front de mer, pour apprécier particulièrement le charme typique de ses cabanes colorées sur le sable blanc et les bateaux de pêche flottants sur les eaux magnifiques d’un bleu turquoise. Il avait même loué un de ses cabanons, dans l'espoir de coucher avec Tamara avant son retour en France. Ils se baladaient main dans la main comme des amoureux tout en marchant jusqu’à la crique nommée Anse des Trois-Rivières, le long de l’agréable sentier côtier, bordé de belles plages.

Lors d’une de leur promenade la deuxième nuit, ils avaient même pris un bain de minuit et s’étaient allongés sur une de ses plages. Allongés presque nus, Grégoire tout en douceur lui enlevait les grains de sable sur les jambes et les cuisses, il n’avait pu s’empêcher de caresser sa peau couleur café au lait, douce comme une pêche. Tamara adorait cela, elle affectionnait la tendresse et la douceur de ses mains, elle se laissait faire. Sous ce ciel étoilé à plusieurs milliers de kilomètres de la France, elle était comme dans un rêve, jules était à mille lieues de ses pensées.

Grégoire savait que c’était le moment, il commençait à la connaitre, il approcha ses lèvres et l’embrassa. Immédiatement, Tamara le prit dans ses bras et leur baiser dura plusieurs minutes, elle gémissait sous ses caresses érotiques, ses doigts avaient pris possession de ses tétons qui grossissaient à vue d’œil, il osa glisser sa main sous son bikini et lui titilla son petit bouton. Tamara étant en plein extase, elle désirait que cela se poursuive mais Grégoire très vite se leva :
— Viens avec moi, j’ai une surprise pour toi. Lui dit-il en montrant le petit cabanon se trouvant à une vingtaine de mètres de là.
— Nous aurions pu rester encore, tu m’as fait du bien. Il est à toi ?
— Au moins jusqu’à notre départ de Sainte Luce. Allez ! Viens !

Très impatient de faire l’amour, Tamara et Grégoire coururent mains dans la main jusqu’à cette petite cabane. Ils se précipitèrent jusqu’à la couche se trouvant devant eux et s’allongèrent. Après qu’il lui ait enlevé son bikini, pendant qu’elle lui baissait son boxer, leur baiser tendre reprenait de plus belle, les mains de Grégoire se promenaient sur et dans son intimité, Tamara mouillait intensément pendant qu’elle masturbait lentement la verge épaisse de son ami pêcheur.

Le moment était venu, elle écarta les jambes et l’invita à la prendre, il se pencha sur elle et plaça son pénis entre les deux lèvres, sa chatte était trempée à souhait puis il s’enfonça de quelques centimètres, son gland n’avait pas encore franchit l’intérieur de son vagin qu’elle se contracta :
— Non Grégoire, je ne peux faire ça !

Pour Grégoire, il n’en était plus question, son orgueil de mâle puissant lui disaient de poursuivre son action et en poussant fortement, sa verge entra complétement pour remplir sa chatte en disant :
— Il est trop tard Tamara, tu m’as trop chauffé.
Pour elle aussi il était trop tard, elle ne pensa pas aux conséquences et se laissa aller au plaisir :
— Oui ! C’est bon ! Continue !

Grégoire n’était pas un surhomme, beaucoup moins que Jules. Après l’avoir possédée tendrement avec de lents et longs va et viens, lorsqu’elle cria en prenant son plaisir, il se vida puissamment, laissant son sperme s’écouler à l’intérieur de son vagin. N’ayant pas de préservatif, il avait bien pensé à se retirer, mais pris par cette excitation démentielle, il n’avait pu le faire. Tamara ne dit rien non plus, elle était dans sa bulle après cet orgasme fulgurant. Ce ne fut que bien plus tard, juste avant de s’endormir qu’elle lui fit le reproche. Après cette déconvenue, elle n’avait plus voulu refaire l’amour avec lui. Il en fut assez malheureux mais attendrait encore son bon vouloir. Ils restèrent très proches sans plus jamais s’embrasser ni se caresser. Il n’y avait entre eux qu’une profonde amitié.

En attendant, en France tout était à refaire pour Manon et Jules, ils devaient retrouver une cible afin de réaliser ce trio tant attendu.
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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